Jieldé
A la fin des années 1940, lassé de ne pas trouver de luminaire adapté à son activité de mécanique générale, Jean-Louis Domecq en dessine un. Après quelques tâtonnements, le dessin définitif est figé en avril 1950. Il correspond parfaitement au cahier des charges fixé : simple, robuste, articulé de façon à ce qu’il s’adapte à tout poste de travail.